Glossaire SEO pour comprendre le référencement organique

Quand j’ai commencé à me renseigner sur le SEO, j’étais confrontée à énormément de termes. J’avais entendu parler de certains dans le cadre de mes missions dans le digital, d’autres étaient totalement inconnus. C’est quelque chose qui m’arrive toujours car c’est un domaine qui évolue tous les jours. C’est pour cette raison que cette première entrée de mon blog est glossaire sur le référencement organique qui va nous faciliter la vie à tous. A vous, qui êtes là, en train de me lire; merci :), et à moi car en écrivant je retiens plus facilement les choses. C’est ma petite méthode pour apprendre ! Du coup, ça sera un article qui aura plusieurs mises à jour car, comme indiqué auparavant, sur le SEO les nouveautés ne s’arrêtent pas. Ce glossaire est classé par ordre alphabétique, mais pour chaque terme, j’indique le ou les piliers (p) auquel il est associé : technique, sémantique, offsite. Je commence !

Algorithme : (p : technique, popularité, sémantique). Ce sont des programmes informatiques propres aux moteurs de recherche (Google, Bing, Yahoo, etc) qui servent, selon plusieurs critères, à positionner une page sur les résultats de recherche. Leurs règles de classement changent régulièrement, d’où l’importance de rester à jour sur les actualités du SEO.

Ancre de lien : (p : popularité, sémantique) . Il s’agit du texte visible d’un lien hypertexte. On le voit souvent en bleu, mais ce n’est pas la règle. Dans mon site, par exemple, lorsque l’on passe la souris dessus, vous verrez que la couleur devient verte et en cliquant dessus, l’internaute est redirigé vers une nouvelle page. On entend parler des ancres des liens soit pour le maillage interne, soit pour les backlinks (maillage externe).

Ancre naturelle : (p : popularité, sémantique). Une ancre naturelle est celle qui comporte comme texte visible, soit le nom domaine (exemple : lachicaseo.com) du site vers lequel l’internaute est redirigé, soit son adresse web (exemple: https://www.lachicaseo.com), soit un call to action comme « cliquez ici », « en savoir plus », etc.

Ancre optimisée : (p : popularité, sémantique). Ce type d’ancre contient un mot clé se référant au contenu de la page de destination du lien. Exemple : « consultante SEO freelance paris »

Ancre semi-optimisée : (p : popularité, sémantique). C’est une combinaison des deux typologies d’ancres citées ci-dessous. Exemple : « La chica seo, consultante SEO freelance paris »

Attribut alt : (p : technique, sémantique). Il s’agit du texte alternatif qui décrit une image. Il doit contenir des mots cIès et permet aux moteurs d’indexer les images et aux personnes malvoyantes de les comprendre via une retranscription vocale.

Autorité de domaine : (p : offsite ou popularité). C’est un score de 0 à 100 développé par MOZ (un outil de suivi offsite) qu’indique la « valeur » d’un site aux yeux de Google. Plus il est élevé, mieux c’est.

Backlinks : (p : offsite ou popularité). Ce sont les liens hypertexte ou image provenant d’un site externe vers une page de votre site. Il y a deux types de liens : dofollow et nofollow. Les premiers transmettent du « jus de lien », et sont donc intéressants pour le SEO. Les deuxième ne transmettent pas du « jus de lien », mais sont utiles pour la visibilité du site sur lequel ils pointent.

Backlinks toxiques : (p : offsite ou popularité). Ce sont des liens hypertexte nocifs pour le référencement d’un site. Ils proviennent de sites reconnus comme link spammer. Un site link spammer a souvent une extension de domaine étrangère (exemple : ru, jp, ga, cn, etc) et porte sur une thématique considérée borderline par Google (sites de pornographie, de jeux d’argent, etc)

Balisage : (p: technique, sémantique). Ce sont les marqueurs qui permettent de bien structurer le contenu d’une page afin de faciliter aux moteurs de rechercher sa compréhension et donc de favoriser son indexation. La balise title et méta description (placées dans le head) sont affichées dans les résultats de recherche et le balisage HN, placé dans le body (H1, H2, H3, etc) à l’intérieur de la page.

Balise méta description : (p: technique, sémantique). Placée dans le head du code html, c’est un texte de maximum 155 caractères qui décrit le contenu de la page et est visible sur les résultats de recherche, en dessous du titre de la page. Même si ce texte ne rentre pas dans les critères de classement d’une page, il est très important pour inciter l’internaute à cliquer; il doit donc contenir un call to action attirant et des mot clés en lien avec la requête sur laquelle on souhaite positionner une page.

Balise title : (p: technique, sémantique). Placée dans le head du code html, comme son nom l’indique, c’est le titre de la page. Contrairement à la balise méta description, la balise title est très importante pour l’indexation d’une page. Il est conseillé une longueur maximum de 70 caractères et de placer en début de la phrase le mot clé sur lequel on souhaite positionner la page.

Balises open graph : (p :technique). Ce sont des balises propres à l’Open Graph Protocol OGP), un protocole créé par Facebook dans le but d’optimiser au clic la description d’une page web lorsqu’elle est partagée sur ce réseau social. Les plus importantes et obligatoires sont : title, type (un article, vidéo, musique), description de la page, URL, l’image (1200px X 630px), name (nom du site internet). Elles sont placées en dessous du <head>.

Balises canonicals : (p: technique). Une balise canonical permet d’indiquer aux moteurs de recherche la bonne page à indexer parmi plusieurs pages ayant un contenu identique. Elle doit être placée dans le head de la page. Pour faciliter davantage la tâche à Google, l’URL de la page à indexer doit être renseignée dans le fichier sitemap. Il est conseillé que les pages canoniques aient une balise canonical pointant vers elles mêmes (self canonicals).

Balises hreflang : (p: technique). Ce sont des balises indispensables pour les sites multilingues, car elles permettent à Google d’identifier quelle version de la page afficher sur la SERP en fonction de l’emplacement de l’internaute. Son implémentation en 2011 a beaucoup amélioré l’UX (expérience utilisateur). Elles sont placées généralement dans le <head> de la page.

Benchmark SEO : (p : sémantique, offsite). C’est une analyse comparative d’un site avec ses concurrents business et organiques (ces derniers sont ceux qui se positionnent sur les mêmes requêtes du site analysé mais n’ont pas le même business model; exemple un blog et un portail sur la même thématique). Un benchmark SEO permet d’identifier les forces et faiblesses du contenu et des backlinks d’un site par rapport à ses concurrents. Le but, c’est d’en tirer des opportunités SEO pour le site analysé.

Black Hat SEO: (p : technique, sémantique, offsite). Il s’agit de toute pratique ou technique de référencement naturel non conforme aux règles de Google ou tentant de tromper son algorithme. Exemple : le cloaking (expliqué ci-après), le contenu de faible qualité ou dupliqué, la construction des « circuits de liens » (A vers B, B vers C, C vers A), l’achat de liens, la suroptimisation des ancres de liens, etc.

Bots : (p : technique, sémantique, offsite). Ce sont les robots des moteurs de recherche qui « crawlent » en permanence les sites internet afin d’indexer (ou non) leurs pages et les afficher sur la SERP en fonction de leur pertinence par rapport aux requêtes tapées par les utilisateurs. Celui de google s’appelle Googlebot

Brief éditorial : (p: sémantique). C’est un document, à destination des rédacteurs web, contenant des informations précises (mot clé principal, secondaire, champ lexical, balisage, ancres, volume de mots, etc) à prendre en compte pour la création de contenu SEO sur une page existante ou nouvelle.

Budget crawl : (p: technique). C’est le nombre de pages que le Googlebot crawl sur un site. L’intérêt pour un référenceur SEO, c’est de faire en sorte que les pages stratégiques soient crawlées. Pour cela, plusieurs critères sont pris en compte : la vitesse de la page, la mise à jour du contenu et sa qualité, la profondeur des liens.

Cache navigateur : (p: technique). C’est une sauvegarde et stockage des données associées à la page d’un site (les images, le code HTML) lorsqu’elle est visitée pour la première fois ou après avoir vidé le cache. Ces données stockées concernent l’ordinateur de l’internaute via le navigateur. Elles prennent la forme de fichiers temporaires et permettent de réduire la consommation de bande passante lors des visites suivantes.

Cache google : (p: technique). C’est la copie d’une page stockée dans l’index de Google lors du dernier passage du Googlebot. L’intérêt de cette sauvegarde est de réduire le temps d’attente de l’internaute entre le moment de taper sa requête et l’apparition des résultats sur la SERP. Pour les éditeurs de site il y a également un bénéfice car si jamais le site subit des problèmes de serveur où les contenus sont temporairement indisponibles, Google va afficher à l’internaute la dernière version de la page indexée. Le Google cache permet aux éditeurs de site de connaître la date et l’heure de la dernière exploration.

Chat GPT : (p: sémantique). C’est un chatbot développé par Open AI qui offre des réponses assez précises sur plusieurs sujets dans des langues différentes. C’est un outil à exploiter en SEO, notamment, dans le cadre de : aide à la recherche de mots-clés, formulation de balises title et meta description, proposition d’une arborescence de site, aide à la rédaction des contenus SEO friendly, traduction SEO.

Citation flow : (p : popularité). C’est un indicateur de popularité de MAJESTIC (un outil de surveillance de backlinks) qui note la quantité de liens qui pointent vers un site internet donné. Il ne doit pas être analysé de façon isolée, mais au même temps que le trust flow, aussi de MAJESTIC, qui note la qualité des liens externes vers un site donné.

Cloaking : (p : technique). C’est une pratique de « black hat » qui consiste à présenter aux bots une version de page différente de celle affichée aux internautes dans le but de favoriser son indexation et/ou d’améliorer son classement.

CLS : (p: technique). « Cumulative layout shift », c’est une métrique des « Coral web vitals » qui mesure la stabilité d’une page web, c’est-à dire le déplacement de certains éléments lors du chargement d’une page. Les éléments qui peuvent souvent impacter négativement cette métrique au détriment de l’expérience utilisateur sont les images mal dimensionnées, les bannières publicitaires et iframes sans dimensions, l’utilisation des polices personnalisées sans spécification des valeurs d’affichage. Un bon CLS est inférieur ou égal à 0,1.

Cocon sémantique : (p : sémantique). C’est un concept d’organisation des pages créé par un expert SEO français, Laurent Bourrelly. Il consiste à organiser la hiérarchisation des pages autour de mots clés sémantiquement proches afin de répondre efficacement à une requête utilisateur sur un thème donné. Sa puissance repose sur le maillage interne, c’est-à dire la création de liens contextualisés (ancres optimisées) entre toutes les pages (mère, filles et sœurs) ayant une proximité sémantique.

Code de réponse HTTP : (p : technique). C’est tout simplement le statut de réponse d’une requête HTTP envoyée à un serveur via un navigateur. Derrière cette requête se trouve un internaute qui fait une recherche sur un moteur de recherche. Il y a plusieurs codes de réponse, vous verrez ci-après les plus importants à retenir.

Code de réponse HTTP 200 : (p : technique). Ce code indique que la requête a été traitée avec succès, c’est-à dire que la page appelée a été bien chargée. En SEO, il faudra viser un maximum de pages répondant en 200. Cela permettra d’optimiser le budget crawl.

Code de réponse HTTP 301 : (p : technique). Ce code indique une redirection permanente, c’est-à dire que le contenu visé est disponible sur une nouvelle URL. Les redirections 301 sont utilisées dans le cadre d’un changement de nom de domaine, la refonte d’un site, la migration vers un site en https où lorsque un contenu n’est plus d’actualité (par exemple un produit qui n’est plus disponible). Dans ce cas l’internaute est redirigé vers la page d’un produit similaire. Le « jus seo » d’une page en redirection en 301 est transmis vers la nouvelle.

Code de réponse HTTP 302 : (p : technique). Ce code indique aux moteurs de recherche et aux navigateurs une redirection temporaire d’une URL vers une autre. La page d’origine maintient sa popularité et son URL continue à être affichée sur la SERP.

Code de réponse HTTP 404 : (p : technique). Ce code indique une erreur sur le site, c’est à dire que le serveur n’a pas trouvé la ressource demandée sur l’URL indiquée. Cette erreur se présente lorsqu’une page est supprimée et aucune redirection n’a été faite. Les pages répondant en 404 impliquent un gaspillage du budget crawl et sont déceptives pour l’utilisateur.

Code de réponse HTTP soft 404 : (p : technique). Une soft 404 est une page qui répond en 200 et affiche un message d’erreur; par exemple « ce produit n’est plus disponible ». Comme pour les pages en 404, les soft 404 entraînent un gaspillage de budget crawl et sont très déceptives pour l’utilisateur.

Code de réponse HTTP 500 : (p : technique). Ce code indique une erreur du serveur, c’est-à dire un événement inattendu qui empêche une réponse à la requête du navigateur.

Contenu dupliqué : (p : technique, sémantique ). Lorsqu’un même contenu, partiel ou total, est présent sur deux ou plus de pages, nous sommes face à un contenu dupliqué. Cela peut concerner, soit les pages d’un même site, d’où l’importance des balises canonicals où des redirections 301 en fonction du besoin; soit les pages des sites externes. Quel que soit le cas, le contenu dupliqué entraîne des conséquences négatives pour le SEO.

Core web vitals : (p : technique, sémantique). Ce sont les métriques de Google, déployées en 2021, servant à noter la performance technique d’une page. Elles font partie de sa mise à jour « Google page experience » dont l’objectif est d’inciter les sites à proposer la meilleure expérience utilisateur. Les core web vitals, également connus comme « Signaux Web essentiels » font partie des critères de Google pour le classement des pages. Cependant, leur impact sur le bon ou mauvais positionnement d’une page reste faible. Les trois indicateurs à analyser sont : le « Largest contentful paint » (LCP), le « First input delay (FID) » et le « Cumulative layout shift (CLS). Chacune de ces métriques sont expliquées dans ce glossaire.

Courte traine : (p : sémantique). Ce terme est associé aux mots clés, généralement courtes, tapés par les internautes sur les moteurs de recherche. Un exemple d’expression de courte traine serait : « pantalon rouge femme ». Il s’agit donc de recherches très larges ayant une concurrence et un volume de recherche très élevés.

Crawling : (p : technique). C’est l’exploration d’une page web réalisée par les bots des moteurs de recherche. Une page « crawlée » ou explorée n’est pas forcément indexée. Le crawling est donc tout simplement une consultation de tous ses éléments (images, ressources en JS, CSS, liens, etc) et ce sont les moteurs de recherche qui estiment la pertinence ou non de son indexation.

CSS : (p : technique). C’est l’acronyme de « Cascade style sheets » un langage informatique qui permet de travailler la mise en forme d’une page web.

Désavoue de backlinks : (p : offsite). C’est une fonctionnalité proposée par la Google search console pour retirer de nombreux liens externes considérés comme spammy et pouvant entraîner une pénalité manuelle pour un site. Avant de faire une telle demande, il faut toujours essayer de contacter le site ou les sites concernés et leur demander la suppression des liens.

Développeur informatique : (p : technique). C’est un programmateur expert en différents langages informatiques comme JavaScript, PHP, html. Dans le cadre du SEO, un développeur aura les compétences pour mettre en place les optimisations techniques recommandées par l’expert en référencement naturel.

Domaine référent : (p : offsite). Il s’agit du site qui pointe de backlinks depuis une ou plusieurs de ses pages vers une ou plusieurs pages d’un autre site internet. Une bonne stratégie de netlinking consiste à trouver des domaines avec une bonne popularité et notamment thématiquement proches de celui vers lequel pointe le backlink.

Featured snippet : (p : technique, sémantique). Connu en français comme position 0 ou extrait optimisé. Il s’agit d’un extrait de texte d’une page, positionnée dans le Top 3 de la SERP sur une requête donnée, affiché avant de la première position organique et en dessous des liens sponsorisés s’ils sont présents. Le grand avantage pour la page dont l’extrait de texte est sélectionné par Google c’est que son taux de clic (CTR) est très élevé, plus de 30%. Cependant, ça peut arriver que l’internaute trouve que le texte affiché répond suffisamment à sa question et décide de ne pas cliquer sur la page en question. Dans ce cas là, les efforts ne sont pas perdus puisque Google aura déjà bien validé la page concernée et au passage le site.

Fichier .htaccess : (p : technique). Il s’agit d’un fichier qui se trouve à la racine d’un serveur web qui sert à lui donner des directives sans besoin de modifier ses fichiers de configuration. Parmi ses fonctionnalités se trouve la gestion de redirections, la mise en place des protections de répertoires et de liens, la gestion des règles de cache navigateur, et le contrôle d’accès à un site des adresses IP spécifiques.

Fichier robots.txt : (p : technique). Il s’agit d’un fichier texte placé à la racine d’un site (exemple : https://www.site.com/robots.txt). Sa finalité est d’indiquer aux robots d’exploration des moteurs de recherche, via des directives « allow » et « disallow », quelles URL peuvent être explorées ou « crawlées ».. Ce fichier n’empêche pas l’indexation. Pour s’assurer qu’une page ne soit pas indexée, il faut bloquer l’indexation via une balise meta robots avec la règle « noindex ». Cette balise doit être placée dans la section <head>.

FID : (p : technique). « First input delay », c’est une métrique des « Core web vitals » qui mesure le temps passé entre la première interaction d’un utilisateur sur un site (un clic sur un lien, un bouton ou autre) et la réponse du navigateur. Un bon FID est inférieur ou égal à 100 ms (0,1 s)

Fil d’ariane : (p : technique). C’est un élément qui facilite la navigation (sur desktop ou mobile) des internautes sur un site. Il lui permet d’identifier la place d’une page dans l’arborescence du site. Côté robots, le fil d’ariane est également un repère important, notamment pour les sites e-commerce.

Filtres à facettes : (p : technique). C’est une facilité mise en place par les gros sites permettant aux internautes d’affiner leur recherche en fonction de plusieurs critères; exemple : prix, taille, couleur, matière, etc). Il s’agit d’une très bonne initiative pour l’expérience utilisateur, cependant, une mauvaise implémentation peut entraîner des problématiques SEO.

Indexation : (p : technique). C’est l’étape qui suit l’exploration d’une page. Cependant, il n’y a pas de garantie qu’une page explorée soit automatiquement indexée, d’où l’importance de bien mettre en place les préconisations des moteurs de recherche pour qu’elle soit prise en compte.

Intention de recherche : (p : sémantique). L’intention de recherche est liée au besoin d’un internaute lorsqu’il tape une requête ou mot clé sur un moteur de recherche. Il existe quatre types d’intention de recherche : informationnelle (un simple renseignement sur un sujet donné. Exemple : « les bénéfices du vinaigre de cidre ? »), commerciale/comparative (si l’on suit le même exemple, l’internaute qui cherche des avis ou des recommandations sur les meilleures marques de vinaigre de cidre : « les top 10 marques de vinaigre de cidre » ), transactionnelle (l’internaute a une intention de conversion : « acheter du vinaigre de cidre en ligne « ) et navigationnelle (l’internaute connaît déjà la marque de vinaigre de cidre qu’il souhaite acheter mais ne connait pas l’URL exacte, il tape donc : « vinaigre de cidre marque xxxx »). Le type d’intention de recherche est un input très important pour la production de contenu.

Javascript : (p : technique). C’est un langage de programmation utilisé dans la création des sites web interactifs. Il sert notamment à l’amélioration de l’expérience utilisateur. Il est incorporé dans les pages HTML et avec le CSS représentent les langages web les plus utilisés dans la créations des sites internet.

Jus du lien : (p : sémantique, offsite). C’est un terme utilisé pour évoquer la répartition de puissance SEO entre deux sites ou deux pages d’un même site via un lien HTML ou un backlink (maillage externe).

KPI de popularité : (p: offsite). Ce sont les métriques qui permettent de faire un diagnostic sur la popularité d’un site internet, c’est-à dire la qualité et la quantité de ses backlinks. Les plus courants sont le trust flow (qualité des liens externes), le citation flow (quantité des liens), le topical trust flow (la thématique dans laquelle est classée un site en fonction de sa proximité sémantique avec les domaines lui pointant des backlinks) de MAJESTIC, la sémantique value (popularité d’un domaine en fonction de la proximité sémantique des backlinks) de BABBAR et le domaine raiting (la force du profil des backlinks) d’AHREFS.

LCP : (p: technique). « Largest contentful paint », c’est une métrique des « Core web vitals » qui mesure le temps de chargement de l’élément de contenu le plus grand d’une. Un bon LCP est inférieur ou égal à 2500 ms (2,5 s)

Longue traine : (p: sémantique). Ce sont des requêtes, généralement longues et très spécifiques, tapées par les internautes sur les moteurs de recherche lorsqu’ils ont besoin d’une réponse précise à une question donnée. Son volume de recherche et de concurrence est beaucoup plus bas que celui d’une requête de courte traine. Elles sont très intéressantes dans le SEO car elles permettent de positionner plus facilement une page lorsque les requêtes plus courantes sont déjà « prises » par les concurrents.

Maillage interne : (p: technique, sémantique). C’est la liaison entre les pages internes d’une site avec deux objectifs : répartir le « jus SEO » entre elles et faciliter la navigation aux internautes. Un bon maillage interne est un élément clé dans la structuration des cocons sémantiques.

Netlinking : ((p: technique, offsite). C’est l’action de réaliser des backlinks d’un site ou page externe vers une autre afin de lui transmettre sa popularité. C’est une démarche à faire avec précaution car une suroptimisation d’ancres peut entraîner des pénalités avec un impact directe sur le ranking d’un site.

Page rank : (p : offsite). C’est un concept inventé par Larry Page, cofondateur de Google, qui est devenu la base de l’algorithme d’analyse des liens dans le but de classer les pages d’un site sur les moteurs de recherche. C’est une valeur qui mesure la popularité relative d’une page par rapport au reste du web.

Pages orphelines : (p: technique). Il s’agit des pages connues par Google mais isolées dans un site, c’est à dire qu’aucun lien ne pointe vers elles et ne sont donc plus liées à l’architecture navigationnelle d’un site. Ce type de pages ont pu être oubliées lors de la refonte d’un site ou peuvent correspondre à des contenus qui ne sont plus d’actualité mais répondent toujours en 200 ou reçoivent des backlinks, c’est-à dire que Google continue à les crawler. Sa présence peut donc entraîner un gaspillage du budget crawl. Elles sont détectées lors d’une analyse de logs.

Pagination : (p: technique). C’est un moyen de faciliter aux internautes et aux moteurs de recherche la navigation d’un site lorsqu’il a un volume élevé des pages (fiches de produit dans le cas des sites e-marchands ou des articles longs sur des sites éditoriaux). Afin d’éviter un gaspillage du budget crawl, il y a des considérations techniques à prendre en compte pour une mise en place optimisée pour le SEO et l’expérience utilisateur.

Positionnement web : (p : sémantique). C’est la position d’un site web (via leurs pages) dans les résultats de recherche. Les positions en référencement naturel compte à partir de la première place après les liens sponsorisés.

Profil d’ancre : (p : offsite). Il s’agit de la typologie d’ancre utilisée (optimisée, semi-optimisée, naturelle) dans le cadre d’une campagne de netlinking. Il est très important de ne pas utiliser majoritairement des ancres optimisées et répétitives afin d’éviter de lourdes pénalités de la part de Google et son algorithme Pingouin. Il faut notamment utiliser des ancres naturelles. En revanche, pour le maillage interne, les ancres optimisées (mot clés en rapport avec le contenu de la page de destination) sont fortement conseillées.

Profondeur des liens : (p: technique). Il s’agit du nombre de clics nécessaires pour accéder à une page depuis la page d’accueil d’un site. Il faut viser une profondeur des liens de 2 à 4 clics au maximum. Cela permettra d’optimiser le budget crawl et d’assurer un maximum de pages explorées par les robots.

Rédacteur web : (p : sémantique). C’est une personne spécialisée dans la création de contenu pour un site internet. Elle doit avoir une connaissance des préconisations de Google en matière de rédaction de textes optimisés pour le SEO.

Référencement local : (p : sémantique). Ce sont toutes les actions destinées à positionner un site sur des requêtes géographiquement ciblées. L’utilisation de données structurées du type « place, local business, restaurant » est l’une des recommandations pour le référencement local d’un business.

Rich snippets : (p: technique, sémantique). Aussi connus comme les « données enrichies » ou les « données structurées ». Ce sont des résultats supplémentaires et améliorés affichés sur la SERP suite à la requête d’un utilisateur. Ils permettent d’élargir la place occupée d’un résultat sur la SERP. Ils sont intéressants pour l’utilisateur car plus d’information en réponse à une requête donnée et permettent à Google de mieux comprendre la thématique d’une page pour un meilleur positionnement. Les plus courants sont : le prix, les avis, les étoiles de notation, les avis, les FAQ, le fil d’ariane. Leur affichage dépend de Google, cependant, il est très conseillé de baliser les pages avec ce type de micro-données. Le site https://schema.org/ fournit un vocabulaire de balisage qui permet de représenter les données contenues dans les sites web.

SERP : (p : sémantique). C’est l’acronyme anglophone pour « Search engine result page ». C’est-à dire la page de résultats affichée par un moteur de recherche suite à la requête d’un internaute.

SGE : (p : sémantique, technique, offsite) : C’est l’acronyme anglophone pour « Search generative experience ». Il s’agit de la nouvelle version d’IA du moteur de recherche de Google. A date (juin 2023) disponible seulement en anglais, et aux états unis, cette fonctionnalité cherche à offrir une meilleure expérience à l’internaute en lui proposant non seulement des informations associées, comme aujourd’hui, mais des informations supplémentaires, ainsi qu’un chatbot pour l’aider dans se recherche.

Sitemap.xml (p : technique). C’est un fichier qui répertorie toutes les pages d’un site web sous la forme d’une ou plusieurs listes. Grâce à ce fichier, les moteurs de recherche ont une meilleure compréhension de la structure d’un site. Il est renseigné dans la Google Search Console et le fichier robots.txt.

Webmaster : (p : technique). Il s’agit de la personne qui s’occupe de la maintenance d’un site web. Un webmaster a les compétences pour exécuter un plan d’optimisation technique préconisé par un référenceur SEO.

White hat : (p : technique, sémantique, offsite). Toute pratique de référencement SEO qui suit les règles et les préconisations des moteurs de recherche est considérée comme du « white hat »

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